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Essai DS 7 Crossback : le chic sans le choc

Photo essai DS 7 Crossback (2018)

Dévoilé en début d’année dernière, le DS 7 Crossback est le premier véhicule signé exclusivement par la division premium du groupe PSA. Après avoir séduit le public depuis son lancement, le SUV se décline désormais dans une nouvelle version PureTech 225. French Driver en a pris le volant, pour un week-end provençal au cœur du Luberon.

En mars 2017, DS faisait sensation en dévoilant son tant attendu DS 7 Crossback. Apportant un vent de fraîcheur sur un segment des SUV premium dominé par les constructeurs allemands, celui-ci est par ailleurs le premier modèle conçu exclusivement sous la marque DS, depuis sa prise d’indépendance en 2014. Après avoir conquis le président Emmanuel Macron lors de son investiture, le nouveau DS 7 Crossback séduit désormais le grand public depuis son lancement en début d’année.

Avec son design consensuel mais sublimé par une foule de discrets détails et son positionnement premium, le DS 7 Crossback affiche tout ce qu’il faut pour se faire une place sur le marché. Déjà disponible avec une large gamme de motorisations, le SUV fait du confort sa priorité, quelle que soit la finition choisie. En attendant l’hybride E-Tense de 300 chevaux prévu pour l’année prochaine, c’est sur la toute nouvelle déclinaison PureTech 225 chevaux en version Performance Line que nous avons jeté notre dévolu.

Mais avec tant d’atouts sur le papier, ce nouveau DS 7 Crossback a t-il vraiment toutes les chances de faire de l’ombre à ses rivales allemandes ? C’est que French Driver a voulu vérifier, en prenant le volant du SUV français sur les superbes routes du Luberon, entre Uzès et les Baux-de-Provence. Au programme, routes sinueuses et off-road, afin de tester le confort et les technologies de cette nouveauté pleine de promesses.

Essai DS 7 Crossback PureTech 225 : premières impressions

Photo essai DS 7 Crossback (2018)

Avec son DS 7 Crossback, DS a fait le pari d’un design à la fois original et consensuel, avec des lignes très élégantes, associées à quelques traits assez futuristes, notamment au niveau des feux. Ceux-ci, qui constituent l’une des parties les plus réussies de ce SUV, se distinguent à l’avant par une cinématique spécifique, tandis qu’ils adoptent à l’arrière des formes triangulaires reprenant la fameuse trame DS. Un dessin par ailleurs récurrent, que l’on retrouve sur la calandre noir brillant, ici entourée de noir texturé dans notre version d’essai Performance Line. Cette dernière se distingue du reste de la gamme par des éléments noirs, en lieu et place du chrome habituel des autres finitions, ainsi que des badges spécifiques sur le capot et les flancs.

L’ensemble, mariant des lignes arrondies et des traits plus saillants, se veut imposant et permet à ce DS 7 Crossback de se distinguer de ses concurrents d’un seul coup d’œil. A l’arrière, les deux canules d’échappement chromées lui donnent un style sportif, qui contraste avec un arrière-train peut-être un peu trop sage par rapport à une face avant au style plus dynamique. Avec sa longueur de 4,57 mètres, le SUV est légèrement plus imposant que ses principaux rivaux, les BMW X1 et autres Audi Q3, avec une hauteur également plus grande de quelques millimètres, lui conférant une certaine prestance. Il est vrai qu’à le voir dans son rétroviseur, l’engin se montre plutôt imposant, voire intimidant parfois.

Alors que la DS 3 (retrouvez notre essai de la DS 3 Performance) mise sur la personnalisation pour séduire, le DS 7 Crossback a quant à lui choisi la sobriété, en proposant un catalogue de neuf teintes de carrosserie et huit styles de jantes. Un choix finalement pas si restreint que cela, même s’il ne faudra pas compter sur un grand nombre de combinaisons de couleurs pour se démarquer. Notre version d’essai était quant à elle habillée de la teinte Rouge Absolu, facturée 1.000 €, associée à des jantes alliage Tokyo de 20 pouces (1.090 €) qui remplacent les jantes Beijing 19 pouces livrées de série. La combinaison est plutôt flatteuse, bien que les moins aventureux pourront opter pour une couleur plus discrète, comme le superbe Bleu Encre ou encore un élégant Brun Andradite.

Essai DS 7 Crossback PureTech 225 : vie à bord

Photo intérieur Alcantara DS 7 Crossback Performance Line (2018

Dès l’entrée, nous ne pouvons que remarquer le travail effectué sur le design intérieur, très élégant et il faut le dire, très réussi. L’ensemble est qualitatif, bien qu’un brin austère dans notre version d’essai Performance Line. Cette finition se distingue d’ailleurs par un intérieur en Alcantara et similicuir sur les sièges et la planche de bord, conférant une ambiance feutrée et très haut de gamme. Les matériaux comme les assemblages sont de bonne qualité, et aucun plastique peu esthétique ne vient gâcher l’ensemble comme chez certains constructeurs rivaux. Une attention toute particulière a d’ailleurs été accordé aux moindres petits détails, comme la feutrine sur l’attache de la ceinture de sécurité et au fond des vide-poches, ainsi que les surpiqûres rouges et or aux couleurs de la finition Performance Line. Les sièges très confortables offrent un maintien suffisant, et l’on apprécie bien évidemment les fonctions de chauffage et de massage. Seul petit regret : le volant qui, lui, ne possède en revanche pas de réglage électrique. Un détail certes, mais que l’on aurait aimé retrouver dans une voiture avec de telles ambitions premium.

En réalité, cet intérieur est aussi beau que peu pratique, avec parfois quelques détails un brin dérangeants et peu ergonomiques, au contraire notamment de la Peugeot 3008 (retrouvez notre essai de la Peugeot 3008). On déplore en effet un bouton de warning placé trop loin du conducteur, tandis qu’il est nécessaire d’aller dans les réglages sur l’écran tactile pour trouver la commande d’arrêt du Stop & Start. Bref, DS a ici fait le choix de l’esthétique, un parti-pris assumé qui ne manquera toutefois pas de plaire aux clients à la recherche d’un intérieur original et sortant de l’ordinaire, loin des productions allemandes, très consensuelles mais pas franchement excitantes. Le grand écran tactile de 12 pouces vient quant à lui agrémenter la planche de bord grâce à un design très soigné et des graphismes originaux, rappelant là encore la fameuse trame DS. Très réactif, celui-ci vient compléter le combiné digital de 12 pouces livré de série, au design là encore très travaillé et très plaisant à regarder.

Avec son système Hi-Fi Focal Electra à 14 haut-parleurs (1.000 €), ainsi que la montre signée BRM située sur la planche de bord, le DS 7 Crossback fait honneur au savoir-faire français et fait voyager ses passagers en première classe. A l’arrière comme à l’avant, ceux-ci sont parfaitement bien installés, grâce à une banquette accueillante et inclinée comme il faut. L’espace aux jambes et à la tête est suffisant, grâce à une bonne hauteur de toit ainsi qu’un empattement de 2,74 mètres. Avec son coffre de 555 litres, le SUV bat largement ses rivaux allemands, avec quelque 460 litres pour l’Audi Q3 et 505 litres pour le BMW X1. Les bagages sont également simples à installer, grâce à un plancher assez haut permettant d’embarquer des objets lourds sans se baisser.

Essai DS 7 Crossback : les motorisations

Photo moteur essence 1.6 PureTech 225 DS 7 Crossback (2018)

Le DS 7 Crossback propose sous son capot un choix de trois motorisations diesel et deux motorisations essence. Une version hybride E-Tense de 300 chevaux fera par la suite son apparition dans la gamme, et ce dès l’année prochaine.

  • Le 1.5 BlueHDi 130 BVM6 : 130 ch à 3 750 tr/min, 300 Nm à 1 750 tr/min, 104 g/km CO2
  • Le 1.5 BlueHDi 130 Drive Efficiency BVM6 : 130 ch à 3 750 tr/min, 300 Nm à 1 750 tr/min, 101 g/km CO2
  • Le 2.0 BlueHDi 180 EAT8 : 180 ch à 3 750 tr/min, 400 Nm à 2 000 tr/min, 128 g/km CO2
  • Le 1.6 PureTech 180 EAT8 : 180 ch à 5 500 tr/min, 250 Nm à 1 650 tr/min, 132 g/km CO2
  • Le 1.6 PureTech 225 EAT8 : 225 ch à 5 500 tr/min, 300 Nm à 1 900 tr/min, 134 g/km CO2

Avec des émissions de CO2 situées sous la barre des 120 g/km, les motorisations diesel échappent pour la plupart au malus, hormis le BlueHDi 180 qui écope quant à lui de 210 €. Chez les essence, il faudra compter entre 410 € pour le PureTech 180 et 613 € pour le PureTech 225.

Essai DS 7 Crossback : le tarif et les équipements

Photo phare avant LED DS 7 Crossback (2018)

La gamme du DS 7 Crossback se compose de sept niveaux de finitions, de l’entrée de gamme « Chic » à la sportive « Performance Line + », en passant par la plus raffinée « Grand Chic ». Deux finitions « Business » sont également proposées pour les professionnels.

  • Chic : à partir de 31 200 €
  • Business : à partir de 38 550 €
  • So Chic : à partir de 38 800 €
  • Performance Line : à partir de 39 800 €
  • Performance Line + : à partir de 43 600 €
  • Executive : à partir de 45 600 €
  • Grand Chic : à partir de 45 300 €

Dès l’entrée de gamme Chic, le DS 7 Crossback est plutôt bien fourni en équipements, avec notamment le démarrage sans clé, le volant en cuir ou encore la boîte à gants réfrigérée. La dotation en ce qui concerne les aides à la conduite est également intéressante, avec le limiteur/régulateur de vitesse, la reconnaissance des panneaux ainsi que l’alerte de franchissement involontaire de ligne de série.

Il faudra toutefois aller piocher dans le catalogue des options ou monter de niveau de finition pour profiter des systèmes les plus aboutis, tels que le DS Active Scan Suspension, livré de série sur la version So Chic. La vision de nuit DS Night Vision est quant à elle en option (entre 1.250 et 1.640 € selon la finition), tout comme le système de conduite semi-autonome DS Connected Pilot, uniquement disponible avec la boîte automatique.

Essai DS 7 Crossback PureTech 225 : sur la route

Photo 3/4 arrière DS 7 Crossback (2018)

Disponible avec une large gamme de motorisations essence et diesel de 130 à 225 chevaux, le DS 7 Crossback se veut polyvalent et adapté à de nombreux usages. De notre côté, c’est sur le quatre cylindres PureTech 225 chevaux que nous avons jeté notre dévolu, pour sa puissance certes, mais également pour son agrément de conduite, qui on l’espère, est à la hauteur de nos attentes. Parfaitement adapté à la finition Performance Line de notre version d’essai, il ne devrait pas avoir de mal à séduire, grâce à son positionnement tout en haut de la gamme, en attendant la déclinaison hybride E-Tense de 300 chevaux, prévue pour l’année prochaine.

Ne vous y méprenez pas, ce DS 7 Crossback est loin d’être un véhicule sportif, malgré les 225 chevaux qui se cachent sous son capot. Malgré un 0 à 100 km/h annoncé en 8,2 secondes, le SUV est un brin long au démarrage, et il faudra le pousser dans ses retranchements pour en tirer quelconques sensations. L’excellente boîte automatique EAT8 que l’on retrouve également chez Peugeot et Citroën est ici résolument typée confort, et les amateurs de vitesse devront donc jouer des palettes pour faire ressortir tout le potentiel dynamique de ce DS 7 Crossback. Attention, car là n’est pas question d’aller concurrencer l’Alfa Romeo Stelvio (retrouvez notre essai de l’Alfa Romeo Stelvio), plus dynamique, mais plutôt de s’offrir quelques petites accélérations si l’on est un peu pressé.

Avant tout conçu pour être un SUV confortable, le DS 7 Crossback n’a aucunement des ambitions sportives et ne s’en cache pas. Il faut en effet monter dans les tours pour gagner en dynamisme, avec un turbo qui commence à siffler une fois bien haut et des sensations qui apparaissent alors à ce moment-là. Malgré ses quatre modes de conduite, seuls les configurations Normal et Confort sont utiles, le mode Sport n’étant en réalité pas vraiment adapté à ce SUV aux ambitions premium. La boîte tire en effet les rapports trop loin sans pour autant gagner en sensations, tandis que la direction se raffermit légèrement, mais pas assez pour offrir un bon maintien. Les suspensions, là encore très typées confort, confèrent un roulis assez important en courbe, et il vaudra mieux s’en tenir à une vitesse raisonnable sur les routes sinueuses comme nous avons pu en croiser lors de notre essai.

Photo essai route DS 7 Crossback (2018)

En réalité, là où excelle le SUV reste bel et bien la conduite souple et confortable, son principal atout. Avec ses suspensions à amortissement piloté, le DS 7 Crossback s’adapte à toutes les situations et gomme la quasi-totalité des imperfections de la route, même à haute vitesse. Un petit exploit que l’on doit également à l’inédit système DS Active Scan Suspension, qui se compose d’une caméra capable d’analyser les 25 mètres devant la voiture et d’adapter l’amortissement en conséquence. En résulte un confort quasi-parfait, sans pour autant avoir la sensation de rebond que l’on peut trouver sur d’autres modèles. Là où ce DS 7 Crossback a notamment su nous surprendre fut en conduite off-road. S’il n’est évidemment pas aussi agile qu’une Jeep, le SUV se montre toutefois très à l’aise en-dehors des sentiers battus, notamment sur les graviers ou lors de passages un peu rapides dans des nids-de-poule. En ville, le confort est là encore de mise, et les dos d’ânes sont évidemment franchis avec une facilité déconcertante, notamment grâce à la suspension pilotée. Le diamètre de braquage de 10,45 mètres est quant à lui meilleur que la concurrence, permettant au SUV de se faufiler presque partout, malgré son imposant gabarit.

Véritablement dans l’air du temps, le DS 7 Crossback se dote d’une foule de technologies, lui garantissant confort mais aussi sécurité. Au total, plus d’une dizaine de systèmes sont proposés de série ou en option selon les finitions, dont la surveillance active des angles morts, l’alerte de franchissement involontaire de ligne, ou encore la reconnaissance étendue des panneaux de signalisation. Outre ces technologies, le SUV ouvre la voie à la conduite semi-autonome grâce au DS Connected Pilot, alliant le régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go et l’aide au maintien de voie. Enfin, le système de vision de nuit DS Night Vision nous a particulièrement bluffé lors de cet essai. Affiché directement sur le combiné numérique, il permet de voir les obstacles jusqu’à 300 mètres même dans le noir le plus complet, grâce à une caméra infrarouge placée dans la calandre.

Avec un poids contenu à seulement 1,4 tonne, il n’est donc pas surprenant que ce DS 7 Crossback se montre assez peu gourmand. S’il demande à être réellement cravaché pour montrer son dynamisme, le SUV reste pourtant étonnement sobre, avec seulement 5,9 l/100 km en cycle mixte avec les jantes 20 pouces de notre version d’essai. Lors de notre essai, principalement sur routes sinueuses et à travers des dénivelés plus ou moins importants, nous avons pu relever une moyenne de 7,5 l/100 km, avec un record à 6,5 l/100 km. En conduite plus dynamique, la consommation culminait à 8 litres environ, un chiffre tout à fait honorable, que l’on doit notamment à son poids, ainsi qu’à sa boîte EAT8 livrée de série qui offre un gain de consommation de 4% par rapport à la version six rapports, et dotée d’un mode Free Wheeling en configuration Eco. Avec des émissions de 135 g/km de CO2, il faudra néanmoins compter un malus de 613 €, ce qui reste toutefois raisonnable pour un tel véhicule.

Essai DS 7 Crossback PureTech 225 : en bref

Photo 3/4 avant DS 7 Crossback (2018)

Attendu au tournant par les déçus de DS, qui a mis du temps avant de se renouveler, le DS 7 Crossback est le premier véhicule entièrement conçu par la marque, indépendante de Citroën depuis 2014. Revendiquant un savoir-faire à la française, le SUV se devait d’être à la hauteur des attentes, et il semblerait qu’il ait réussi sa mission. Désormais, le SUV made in France n’a plus qu’une seule ambition : faire de l’ombre à la concurrence allemande. Pour y arriver, il mise sur une finition très travaillée, mais également sur une philosophie bien à lui, avec un design consensuel et un intérieur original, qui fait la part belle à l’esthétique, au détriment parfois de l’ergonomie. Un parti-pris assumé pour DS, qui veut se démarquer des autres marques du groupe PSA en proposant un véhicule polyvalent et haut de gamme, sans concurrencer les Peugeot 3008 et autres Citroën C5 Aircross.

Confortable, le DS 7 Crossback est aussi à l’aise en ville que sur autoroute, voire même sur des chemins plus accidentés. Idéal pour les longs trajets grâce à des suspensions souples et une consommation réduite, le SUV montre toutefois ses limites en conduite dynamique, avec une prise de roulis importante et un comportement trop typé confort. Le PureTech 225 se montre toutefois volontaire et agréable, et c’est avec les palettes qu’il s’appréciera le mieux si vous êtes à la recherche de sensations. La boîte automatique EAT8 est néanmoins excellente, avec des passages de rapports sans à-coups et un étagement idéal, résolument pensé pour le confort du conducteur comme des passagers, tout en optimisant la consommation.

Affiché à partir de 31.200 € avec le BlueHDi 130 BVM6 et 41.150 € en version PureTech 225 EAT8 comme notre version d’essai, le DS 7 Crossback affiche un excellent rapport qualité/prix, avec des finitions à la hauteur des attentes, malgré la présence de quelques plastiques durs, dans des endroits peu gênants néanmoins. La version Performance Line de notre essai est quant à elle livrée de série avec le combiné numérique de 12 pouces, le garnissage en Alcantara ou encore la suspension DS Active Scan et la navigation DS Connect Nav. Un atout qui lui permet de se distinguer de la concurrence allemande, qui nécessite bien souvent de se plonger dans l’interminable catalogue des options, pour s’offrir des technologies qui sont ici livrées de série.

Essai DS 7 Crossback Performance Line PureTech 225 EAT8 : Fiche Technique

Photo pommeau boîte automatique EAT8 DS 7 Crossback (2018)

  • Moteur : 4 cylindres à 16 soupapes, 1 598 cm³, turbo à injection directe
  • Puissance : 225 ch DIN (165 kW) à 5 500 tr/min
  • Puissance fiscale : 13 CV
  • Couple moteur : 300 Nm à 1 900 tr/min
  • 0 à 100 km/h : 8,2 secondes
  • Vitesse maxi : 234 km/h
  • Transmission : Traction avant
  • Boite de vitesses : Automatique à huit rapports EAT8
  • Pneus : Goodyear Eagle F1 235/45 R20
  • Freins : 4 freins à disque dont 2 ventilés
  • Suspensions avant : roues indépendantes, essieu Mac Pherson avec bras inférieurs triangulés, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs hydrauliques téléscopiques pilotés et barre antiroulis
  • Suspensions arrière roues indépendantes, train arrière multibras, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs hydrauliques téléscopiques pilotés et barre antiroulis
  • Longueur : 4 573 mm
  • Largeur : 2 098 mm
  • Hauteur : 1 621 mm / 1 625 mm (avec barres de toit)
  • Empattement : 2 738 mm
  • Diamètre de braquage : 10,45 mètres
  • Volume du coffre : de 555 litres à 1 750 litres (VDA)
  • Poids à vide : 1 425 kg
  • Consommation Urbaine : 7,5 l/100 km
  • Consommation Extra-Urbaine : 5,0 l/100 km
  • Consommation Mixte : 5,9 l/100 km
  • Capacité Réservoir : 62 litres
  • Emissions de CO2 : 125 g/km (malus 250 €)
  • Année de lancement : 2018
  • Prix de base : 31.200 €
  • Prix du modèle essayé (hors options) : 46.400 €
  • Prix du modèle essayé : 21 490 €

Équipements du modèle essayé – DS 7 Crossback Performance Line :

  • Peinture nacrée Rouge Absolu (1 000 €)
  • Jantes alliage 20 pouces Tokyo (1 090 €)
  • DS Connected Pilot + Driver Attention Monitoring (3 050 €)
    • Alerte attention conducteur par caméra
    • Reconnaissance des panneaux
    • Surveillance des angles morts
    • Alerte active de franchissement involontaire de ligne
  • DS Sensorial Drive (250 €)
  • Pack DS Night Vision (1 640 €)
  • DS Active LED Vision (1 200 €)

Photos : essai du DS 7 Crossback (2018)

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Marie Lizak

Je suis avant tout une passionnée du monde automobile dans tous ses aspects. Ma vocation ? Partager ma passion avec légèreté et bonne humeur, et prouver que la voiture n'est pas réservée qu’aux hommes !

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