J’ai eu la chance de pouvoir essayer la nouvelle Peugeot RCZ R dans le cadre de plusieurs expériences, toutes très différentes, qui m’ont permis d’apprécier pleinement la polyvalence et les qualités de la sportive de série la plus puissante de toute l’histoire du Lion… Retour sur ces six derniers mois placés sous le signe de la sportivité !
Automne 2012, Peugeot présente au Mondial de Paris la Peugeot RCZ R Concept, une expression radicalisée du coupé RCZ animée par un moteur 1.6l THP poussé à 260 chevaux, et dont le design était déjà identique à la version de série, exception faite de sa robe noire mate et des éléments en cuivre, qui rendaient hommage au concept Peugeot Onyx présenté sur le stand.
Ce concept RCZ R ayant rencontré un franc succès, Peugeot donne alors le feu vert pour la production, et a présenté moins d’un an après, au Festival de Goodwood puis au Salon de Francfort 2013, la RCZ R de série qui affiche alors la puissance de 270 chevaux.
Comme les autres RCZ, la Peugeot RCZ R est fabriquée en Autriche au sein de l’usine Magna Steyr de Graz, et a été officiellement lancée en janvier 2014.
Peugeot RCZ R : premières impressions
La Peugeot RCZ R en impose dès le premier regard : posée à ras du sol, plus basse de 10 mm que les autres RCZ, la voiture évoque tout de suite la sportivité, avec de larges passages de roues musclés qui abritent des jantes « R » de 19 pouces bi-ton noires mates et diamantées, ainsi que de larges disques de freins aux étriers rouges signés Peugeot Sport.
On retrouve le fameux toit à double bosselage caractéristique des RCZ, des arches de toit noir mat, un toit en carbone mat ou brillant (en option), un large becquet spécifique à cette version R, ainsi qu’un extracteur avec une double sortie d’échappement chromée.
Le tout est assez bien équilibré, la voiture a un look vraiment sportif sans verser dans l’excès ni le mauvais goût : esthétiquement, on frôle le sans-faute. En effet, il y a bien une ombre au tableau : début 2013, Peugeot s’est lancé dans un restylage hasardeux sur la face avant, en offrant aux RCZ une calandre scindée en deux, qui leur donne vraiment l’air d’avoir un double menton ! On perd également le fameux « nez » plongeant dans le prolongement du capot, qui rendait hommage au superbe concept Peugeot 907 : le bouclier avant des premières RCZ était déjà juste parfait, dommage donc de l’avoir abandonné…
A bord de la Peugeot RCZ R
A bord, pas de révolution technique : on retrouve l’intérieur des RCZ, basé sur l’architecture de la Peugeot 308 I. Sur la RCZ R, les matériaux sont plus flatteurs et les finitions de qualité : on y découvre deux superbes sièges baquet, à l’excellent maintien et recouverts de cuir pleine fleur et d’alcantara, ainsi que des surpiqûres rouges un peu partout : panneaux de portes, tableau de bord, volant sport compact en cuir pleine fleur, accoudoir central, soufflet du levier de vitesses…
Le matériau recouvrant la planche de bord et les portières est du TechnoTEP, et non du cuir, mais le résultat reste tout de même assez soigné ! Pour compléter le tout, de nombreuses touches de chrome et d’aluminium ponctuent l’intérieur : pommeau du levier de vitesses, pédalier et repose-pied, poignées de portes, insert en bas du volant, cerclage des compteurs et des aérateurs, seuils de portes siglés Peugeot Sport et « R », ainsi que sur les badges « R » sur la console centrale et les sièges baquet.
A l’arrière, la banquette peut accueillir deux passagers, mais l’espace aux jambes et la garde au toit sont tellement réduits qu’il vaut mieux les réserver à de très jeunes enfants… Ou pour y poser sa veste. Mieux encore, la banquette peut se rabattre pour agrandir la capacité de chargement déjà très généreuse, qui passera ainsi de 384 litres (321 dm3 VDA) à 760 litres (639 dm3 VDA).
Un cœur de 270 chevaux, conçu par Peugeot Sport !
Parlons un peu des entrailles de la bête ! Sous le capot, se cache un bloc essence turbocompressé « EP6CDTR » 1.6l THP de 270 chevaux, doté d’un couple de 330 Nm disponible de 1900 à 5500 tr/min : c’est 70 chevaux de plus que la plus puissante des RCZ disponible jusqu’à présent (1.6 THP 200), soit un rapport poids/puissance impressionnant de près de 170 chevaux par litre. Il s’agit tout simplement de la motorisation de série la plus puissante jamais produite par Peugeot !
Peugeot Sport, le département compétition de la Marque, a mis en œuvre toute son expertise et son savoir-faire sportif dans la conception de cette RCZ R, en y apportant des solutions issues de la compétition : le bloc moteur a été profondément remanié, et renforcé par un traitement thermique spécifique avant usinage. La ligne d’échappement, le turbo Twin Scroll, le collecteur d’échappement, les bielles, les pistons forgés en aluminium, ainsi que la boîte de vitesses à 6 rapports, sont spécifiques.
Pour compléter le tout, le châssis a été retravaillé avec précision : réglages de trains spécifiques (voies, pince, carrossage, jantes plus larges de 0,5″), liaisons au sol optimisées, amortisseurs et ressorts plus rigides (de 14% à l’avant et de 44% à l’arrière), aérodynamique optimisée avec un large becquet fixe spécifique (+15 daN d’appui à l’arrière), et une caisse plus basse de 10 mm, ce qui abaisse d’autant le centre de gravité.
La voiture, allégée de 17 kg par rapport à une RCZ 1.6 THP 200, repose sur des jantes de 19 pouces spécifiques équipées de pneus Goodyear Eagle F1 Asymmetric. Un différentiel à glissement limité (DGL) Torsen permet d’améliorer considérablement la motricité dans les virages. Pour maîtriser tout cela, un système de freinage spécifique Alcon est proposé sur la RCZ R, avec des étriers fixes à 4 pistons, ainsi que de larges disques de 380 mm de diamètre, qui sont montés flottants sur un bol en aluminium.
RCZ R Experience #1 : sur les routes du Col de Vence
En novembre 2013, Peugeot m’invite aux essais internationaux de la Peugeot RCZ R : une occasion en or de prendre en main la nouvelle sportive du Lion, en avant-première et dans une configuration plus « intimiste » que les essais presse habituels, avec cette fois-ci seulement 5 voitures disponibles !
Rendez-vous est pris sur les hauteurs de l’arrière-pays niçois, autour du Col de Vence : non loin de la mer, un cadre de montagne idyllique aux routes sinueuses, que j’ai déjà eu l’occasion de découvrir au printemps 2013 lors des essais de la Peugeot 208 GTi… Des conditions idéales pour l’essai d’une sportive !
Et je n’ai pas été déçu du voyage : la RCZ R est vraiment surprenante ! Les accélérations sont bluffantes (un 0 à 100 en 5,9 secondes, quasiment autant qu’une Porsche Cayman !) et accompagnées d’une sonorité rageuse qui devient carrément envoûtante lorsqu’on monte dans les tours. Les reprises sont également très bonnes, et nous scotchent littéralement au siège à chaque passage de vitesses…
Pour couronner le tout, la voiture semble être scotchée à la route, même dans les virages négociés à grande vitesse où elle se révèle très précise : grâce à l’apport du Torsen, sa motricité en courbe est surprenante pour une simple traction avant, et on sent vraiment qu’un gros travail a été fait sur le châssis. La RCZ R est bien digne de la réputation de Peugeot : la voiture se révèle en effet très stable et maniable, et enchaîne sans broncher les nombreux virages en épingle tout en se montrant particulièrement rassurante, grâce à une tenue de route exemplaire et un freinage très incisif.
Cette première expérience en RCZ R fut une bonne surprise, et une très belle entrée en la matière : j’ai découvert une voiture vigoureuse, toujours prête à bondir, avec un châssis à l’efficacité redoutable qui nous offre de belles sensations sportives…
Retrouvez sur Féline mon article complet sur cette expérience :
RCZ R Experience #2 : au quotidien en Région Parisienne
Janvier 2014, en plein préparatifs pour la première Rencontre Féline de l’année où nous fêtons les 10 ans de Féline, j’invite officiellement Peugeot à venir se joindre à nous : l’occasion idéale d’aller à la rencontre de ses plus fidèles fans !
En guise de cadeau d’anniversaire, je me vois confier les clés d’une RCZ R pour le week-end du rassemblement, et Peugeot m’annonce que nous aurons le plaisir d’inaugurer avec eux un nouveau dispositif dénommé #PeugeotFanDays, qui rythmera toute l’année par des évènements et des rencontres entre la Marque et ses meilleurs fans : un grand honneur pour Féline !
La voiture qui m’est attribuée n’est autre que celle que j’ai pu essayer sur les hauteurs de Nice deux mois auparavant, et qui a déjà parcouru près de 6000 km depuis ! Je commence donc cette nouvelle expérience en RCZ R à Paris en affrontant la place de l’Etoile (même pas peur !), suivie d’une descente des Champs-Elysées : une artère de la Capitale dont je ne me lasse pas, pour son atmosphère toute particulière lorsqu’on la pratique en voiture… L’impression de rejouer le Défilé du 14 Juillet probablement !
Sur la chaussée pavée et un peu déformée par le temps, je réalise que l’amortissement de la RCZ R est assez ferme, sans toutefois être un calvaire pour le dos : les petites irrégularités de la chaussée sont en effet plutôt bien filtrées. La sonorité du moteur est assez silencieuse au ralenti, et ne s’exprime que discrètement lorsqu’on ne cherche pas à monter dans les tours : à ce niveau-là, le 1.6 THP est toujours un régal par sa souplesse à bas régime, particulièrement appréciable en ville.
La RCZ R s’avère d’ailleurs assez maniable avec son rayon de braquage de 4,95 m : sans pour autant être une citadine, cela facilite grandement le quotidien, malgré une visibilité assez réduite pour les manœuvres; les radars de stationnement avant et arrière seront alors de précieux alliés pour cet exercice. Lors de cette balade parisienne, la voiture se révèle assez agréable, exception faite de la consommation indiquée par l’ordinateur de bord, qui peut s’envoler jusqu’à 12 l/100 km en ville…
C’est peut-être l’effet nouveauté, sa sonorité distinctive ou bien cette robe Rouge Erythrée qui lui va particulièrement bien mais ne passe pas inaperçu, mais la RCZ R attire irrésistiblement les regards et la curiosité des passants, qui commencent déjà à me prendre en photo…
Je me prête au jeu et reçois quelques compliments plutôt flatteurs pour cette nouvelle Lionne : malgré un contexte automobile assez morose, Peugeot sait encore faire des voitures qui suscitent la passion !
Tout au long du week-end et durant la rencontre, j’ai également pu emmener la RCZ R sur mon terrain d’essai favori, les routes des Yvelines, qui permettent vraiment d’essayer une voiture avec une grande variété de situations différentes : petits villages, villes, routes diverses et autoroutes. En conduite normale, sans jouer la carte de la sportivité, la voiture se révèle très agréable et à l’aise sur tous les terrains. Elle est aussi particulièrement rassurante, et notamment sous cette pluie battante qui m’a accompagné tout au long de cet essai : à tout moment, on peut compter sur sa tenue de route exemplaire et son freinage très performant.
Sur autoroute, le 6è rapport plutôt long est idéal pour parcourir de longues distances à régime stabilisé : dans ces conditions, la sonorité de la voiture est assez présente dans la voiture, mais n’est pas insupportable. Avec son coffre très généreux qui pourra accueillir les bagages de deux personnes, elle n’aura aucun problème à vous emmener en week-end ou en vacances ! Sur un parcours mixte, l’ordinateur de bord m’indique une consommation d’environ 8 l/100 km, ce qui reste raisonnable pour une sportive d’une telle puissance.
Petit pincement au cœur au moment de rendre les clés : ces quelques jours passés au volant de la RCZ R étaient une expérience très plaisante. C’est sans aucun doute une voiture polyvalente, synonyme de véritable plaisir de conduire et qui se révèle à l’aise sur tous les terrains, même en dehors des circuits !
Retrouvez sur Féline le résumé de cette première Rencontre Féline de 2014 :
RCZ R Experience #3 : glissades enneigées à Tignes
Quelques semaines plus tard, en février 2014, j’ai eu le plaisir d’être invité à la Peugeot Winter Experience 2014, qui se déroulait dans la fameuse région de Tignes en Savoie : la marque au Lion a en effet invité des blogueurs et journalistes du monde entier à venir essayer les technologies Grip Control et HYbrid4 à la montagne, avec ses Peugeot 3008, 508 RXH, 2008 ou encore 4008.
Véritable coup de cœur pour la Peugeot 508 RXH qui est, avec la RCZ R, l’un des porte-drapeaux actuels de la marque au Lion : c’était la première fois que j’en prenais le volant, et j’ai découvert avec plaisir les joies du système HYbrid4 de Peugeot, ainsi que la richesse des équipements, le confort et l’élégance de ce joli break à l’allure baroudeuse !
Mais revenons-en à la RCZ R : après plusieurs ateliers de tests d’adhérence des différents véhicules sur le Circuit Glace de Tignes, Peugeot nous a offert quelques tours au volant d’une RCZ R ! Equipée simplement de pneus neige sans aucune autre modification, la voiture m’a surpris par son aisance sur la neige et la glace du circuit : des conditions d’adhérence « extrêmes » qui m’ont permis de me rendre vraiment compte des capacités de la RCZ R.
Toujours grâce à son différentiel autobloquant Torsen, la voiture affiche une motricité surprenante, notamment dans les virages où on arrive à maîtriser sa trajectoire malgré le terrain glissant. Après avoir abordé le premier tour avec prudence, les suivants se sont révélés beaucoup plus fun ! En poussant la voiture dans ses derniers retranchements et en négociant les virages au frein à main, la RCZ R m’a procuré de nombreuses glissades et de très belles sensations.
Dans ces conditions, on atteint assez rapidement les limites de la voiture : en sortie de virage, les réaccélérations sont parfois laborieuses pour rattraper le train arrière parti à la dérive. Une transmission intégrale aurait été parfaite pour corriger cela, mais n’oublions pas que le terrain de prédilection de la RCZ R reste surtout la route et le circuit, et pas nécessairement des pistes enneigées comme celle-ci, où elle peut tout de même bien se débrouiller sans pour autant avoir les capacités à faire des chronos.
Après quelques tours de circuit, il est déjà temps de rendre les clés et de retourner sur Paris… Mais je garderai un très bon souvenir de cette expérience RCZ R particulièrement amusante !
Retrouvez sur Féline mon article complet sur cette expérience :
RCZ R Experience #4 : à l’assaut du Nürburgring !
Courant avril 2014, Peugeot a invité de nombreux clients, blogueurs et fans de toute l’Europe à venir vivre une expérience inédite avec la RCZ R, le temps d’un week-end sur le mythique circuit du Nürburgring !
Ce week-end là, nous étions une soixantaine de personnes venant de toute l’Europe (France, Allemagne, Suède…), dont 5 fans invités par Peugeot dans le cadre des #PeugeotFanDays ! L’occasion de faire connaissance avec eux, dont certains qui ne m’étaient pas inconnus car ils font également partie des fans de Féline : Tobias de Besançon, de la communauté GTi Powers, ou encore Gerald d’Autriche, un collectionneur chevronné de miniatures Peugeot, avec plus de 4000 modèles à son actif !
Le premier jour, nous avons assisté à une course du championnat d’endurance VLN 3 : connu dans le monde entier, la spécificité de cet évènement est de permettre aux spectateurs d’accéder aux stands, aux paddocks ainsi qu’à la ligne de départ, afin de vivre la course de l’intérieur comme s’ils y participaient ! L’ambiance y était particulièrement surprenante et plaisante, avec de nombreux badauds autour des voitures et des mécaniciens en plein travail, cohabitant tous ensemble avec grandes courtoisie et passion.
Ce fut une expérience extraordinaire, un véritable spectacle qui met en éveil tous les sens : des moteurs rugissants aux odeurs d’essence et de pneus, j’en ai littéralement pris plein les yeux et les oreilles ! Les alentours du Ring ainsi que du village de Nürburg sont plongés dans une ambiance unique, qu’on ne retrouve vraiment nulle part ailleurs… Un grand moment à vivre pour tous les passionnés d’automobile, dont je fais partie !
Le deuxième jour, les choses sérieuses commencent ! Le dimanche est un jour un peu particulier au Nürburgring. La piste que nous avons découverte la veille, lors de la course d’endurance VLN, est alors ouverte à tout le monde moyennant le paiement d’un péage, un peu comme sur une autoroute… Sauf que celle-ci est à sens unique, sans limitation de vitesse et au tracé impitoyable ! De nombreuses sportives diverses et variées venant de toute l’Europe sont alors présentes, mais également des voitures improbables comme des monospaces ou des camionnettes…
Après un rapide essai routier de la voiture sur les routes avoisinant le circuit, nous rejoignons le Nürburgring pour un baptême musclé en tant que passager de la RCZ R ! Je monte à bord de la RCZ R n°3 avec Stéphane Caillet, Responsable d’analyse châssis chez PSA mais également pilote professionnel, qui a une grande expérience de la Nordschleife : il a notamment participé aux 24H du Nürburgring avec la Peugeot RCZ ou encore la 208 GTi Peugeot Sport, et c’est également lui qui a battu le record de vitesse d’un véhicule électrique au Nürburgring, avec le concept-car Peugeot EX1 !
Je suis donc entre de bonnes mains pour affronter l’enfer vert… Dès les premiers virages, je constate que lors de toutes mes précédentes expériences, je n’avais exploité qu’une infime partie des capacités sportives et dynamiques de la RCZ R ! Le châssis de cette RCZ R est vraiment surprenant : partagé entre la peur, l’excitation et un énorme plaisir, j’ai redécouvert ici une voiture très radicale, agressive et efficace, plongeant dans les virages à plus de 150 km/h, tout en étant pourtant étrangement rassurante, par sa très bonne motricité, sa stabilité et son freinage particulièrement performant…
Stéphane maîtrise parfaitement chacun des virages du circuit, et place la voiture avec une précision déconcertante sur la piste. Dans ces conditions vraiment extrêmes, où je suis secoué dans tous les sens tout en gardant un énorme sourire, j’apprécie particulièrement l’excellent maintien des sièges baquet ! La RCZ R n’a alors fait qu’une bouchée des autres voitures lancées sur le circuit, parmi lesquelles : Mégane RS, BMW M3, etc… Sans jamais se laisser dépasser !
De retour sur le parking du Nürburgring après ce tour de circuit de 20,8 km, tous ces visiteurs curieux rassemblés autour des RCZ R me rappellent que Peugeot a réussi ici un excellent coup de pub pour l’image de sa nouvelle sportive Radicale : aller affronter directement la concurrence sur l’un des circuits les plus célèbres et les plus redoutables du monde, sous les yeux du public et avec la complicité de pilotes particulièrement efficaces ! Et après avoir découvert ce circuit mythique à bord de la plus puissante des sportives du Lion, je n’ai eu qu’une seule envie : remonter en voiture et repartir encore et encore faire des tours dessus…
Retrouvez sur Féline mon article complet sur cette expérience :
Peugeot RCZ R : polyvalence, sportivité… Une belle surprise !
Ces six derniers mois ont été pour moi marqués par toutes ces expériences passionnantes autour de la RCZ R : une première prise en mains sur des routes de montagne dans un cadre magnifique, une expérience de la voiture dans mon quotidien francilien, une bonne dose de glissades et de fun sur la neige à Tignes, et enfin, la cerise sur le gâteau avec la découverte du Nürburgring, l’un des circuits les plus mythiques du Monde !
Si je devais résumer toutes ces expériences en deux mots, je n’aurais pas besoin de les chercher bien longtemps… En effet, la RCZ R incarne à mon avis parfaitement l’esprit de Peugeot : « Motion & Emotion » !
La RCZ R m’a notamment bluffé par sa polyvalence, ses performances et son comportement dynamique sain et très efficace, en toutes circonstances. Peugeot Sport est de retour à l’offensive et nous le prouve une fois de plus avec ce brillant coupé sportif !
Au niveau des lacunes, je trouve vraiment regrettable que le restylage ait fait perdre de son âme à la RCZ, dont la précédente face avant était si expressive et réussie ! C’est également dommage de ne pas pouvoir bénéficier des avantages de l’i-Cockpit de la nouvelle 308 II. Outre le petit volant et le tableau de bord épuré qu’il manque à la RCZ, on sent en effet qu’elle commence à accuser le poids des années : les WIP Nav Plus et WIP Com 3D sont à la traine face à un SMEG+ qui propose un écran tactile et de nombreuses fonctionnalités pratiques, telles que le streaming audio ou la compatibilité avec iOS par exemple.
A part cela, si vous recherchez principalement un coupé sportif polyvalent et compétitif, n’hésitez plus et optez pour cette RCZ R, avec laquelle le plaisir a désormais un prix : 43 350 € !
N’hésitez pas à consulter le dossier complet consacré à la Peugeot RCZ R sur Féline, pour en savoir plus sur le dernier coupé sportif du Lion !
Photos : Essai de la Peugeot RCZ R
Un grand merci à toutes les équipes de Peugeot, Peugeot France et Peugeot Sport pour leur professionnalisme, leur disponibilité et la confiance qu’ils m’accordent au quotidien, et tout particulièrement à Aurélie Denizanne-Gicquel et Anthony Roux, de la Direction Marketing & Communication de la Marque, pour leur sympathie, et… pour me supporter depuis bien longtemps 🙂
Sans oublier tous les membres de Féline, les fans de Peugeot rencontrés durant les Peugeot FanDays, ainsi que tous les copains blogueurs, pour leur passion et leur bonne humeur !
